L’Homme ne pouvait pas tout guérir, il aurait dû comprendre, savoir où s’arrêter, quelles limites ne pas franchir. Ils avaient joué avec le feu et avaient fini par se brûler. Ils avaient tenté leur chance, avaient endossé le rôle de Dieu et en subissaient à présent les conséquences. C’était en 2015, dans un grand hôpital bourré de malades incurables qui se prêtaient volontiers aux expériences des scientifiques. C’était là que tout avait commencé. Que l’horreur avait débuté. Le vaccin n’avait pas eu l’effet escompté. Il y avait eu des effets secondaires, d’effroyables effets secondaires. Les sujets de l’expérience étaient morts dans d’horribles souffrances. Sauf qu’ils ne s’étaient pas contentés de le rester, non. Ils s’étaient relevés et s’étaient mis à tout dévorer sur leur passage, sans jamais être rassasiés. Une morsure, un simple petit contact avec votre sang et vous étiez foutu. Bon à vous tirer une balle pour ne pas devenir l’une de ces choses. Des infectés, des zombies, des morts-vivants. On leur donnait bien des noms alors qu’on ignorait tout d’eux, hormis qu’ils vous laissaient en paix une fois la cervelle explosée. En quelques semaines, le virus se répandit comme la peste et les plus grandes villes tombèrent. Plus de civilisations, plus de populations, plus d’humanité. La planète entière en grouillait. Et, les survivants ne tardèrent pas à être décimés. Nous voici donc en 2020, dans un monde post-apocalyptique où chaque minute, chaque seconde, est une lutte pour sa survie. Il ne reste alors plus qu’une poignée d’humains, éparpillés aux quatre coins du globe, coupés les uns des autres. Mais, les zombies ne sont pas les seuls ennemis auxquels vous devriez prêter attention. Par les temps qui courent, la nourriture et les armes valent tout l’or du monde. Relâchez votre garde et celui qui se disait votre ami vous égorgera pendant votre sommeil. C’est ainsi que des groupes de survivants ont vu le jour. Certains plus agressifs que d’autres mais tous avec le même objectif : trouver un endroit sûr, une planque durable. Un havre de paix. Et vous alors, êtes vous prêt à vous battre pour votre vie ? Ou vous laisserez-vous dévorer ?
souvenirs : 700 avatar : Sam Claflin copyright : emy
Sujet: Re: 08 › z nation Sam 8 Oct - 15:45
Notre petit plus
Petite communauté de 24 survivants, Z c'est avant tout de la joie, des soirées CB et une ambiance amicale grâce à des membres adorables ! Personne n'est délaissé et un groupe Skype a même été créé pour plus de convivialité ! On se cherche, s'embête et se lèche même ! Ici tout le monde est amis et les petits nouveaux deviennent rapidement des vétérans. Que ce soit au niveau de RP de qualités en toute simplicité ou encore de personnages incroyables sans être badass, Z vous vendra du rêve... Pour ce faire suffit juste de vous jeter la tête la première dans la galère et de rejoindre notre petit forum !
T’sais j’crois qu’j’ai encore trop bu. Et, toi tu peux bien m’juger du haut d’toute ta sainteté mais moi, j’ai qu’ça pour tenter d’oublier. J’bois pour noyer mes démons au fond de ma boisson, pour n’plus penser aux Infectés ou pire encore, à ceux qui nous ont enfermé. Ouais mon pote, c’soir c’est à toi que j’l’ai dédié c’verre qui m’pourri lentement la santé. Parc’qu’faut bien qu’je trouve un coupable et qu’t’es l’premier que j’peux blâmer. Au fond, c’toi qui l’a créé l’véritable virus, c’truc qui s’acharne toujours à détruire la vie et qu’on nomme l’Homme. Ouais, comme si on n’en avait pas assez bavé, qu’il y avait pas d’jà eu assez d’décédés aux mains des Infectés. T’sais, j’commençais enfin à m’habituer, à r’trouver l’envie d’survivre sans être complètement déchiré. Et t’as d’nouveau tout gâché. C’groupe d’survivants, c’était d’venu ma famille, l’genre d’personnes prête à s’sacrifier sans hésiter si ça t’permet d’pas crever. On n’était pas nombreux mais chaleureux, pas entraînés mais déterminés. On voulait vivre, quitte à finir quelques zombies. Puis on a reçu ce SOS, c’message de détresse qui nous a conduit droit dans un piège… Nous on accouru et on n’a rien vu. Lend’main matin, j’me réveille avec une sacrée migraine et bardé d’chaînes alors qu’un mec m’souhaite la bienv’nue au Cercle. The Circle comme ils l’appellent, c’est c’te ville fortifiée bien en sécurité, un gros labo peuplé d’mecs atteints du ciboulot. Là-bas, c’toi la proie et l’vilain c’est c’lui qu’était autrefois ton concitoyen. Ils y pratiquent la chirurgie intensive et toi t’es juste l’innocent qui leur sert d’expérience. Mes potes ont tous finis en compote après avoir franchi c’te porte. Puis moi, j’bois. J’bois parce qu’demain j’vais tenter d’les venger d’mes propres mains. J’bois parce qu’la Résistance n’a aucune chance contre les Tyrans et qu’on finira tous découpés par leurs Savants. J’bois parce qu’le monde extérieur était encore meilleur qu’ce p’tit paradis tout pourri. Et j’bois parc’que pour une fois, j’ai b’soin d’croire en toi. Alors à la tienne pépé. Reste sur ton p’tit nuage bien douillet et fais-moi un peu d’place. Demain, c’est ma fin.
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